Les cimetières
Institutions
Caplan compte deux cimetières recensés sur son territoire.

Monument hommage aux citoyen.ne.s de Caplan, mis en place par Gérard Bernard et le curé Rioux. Source : inconnue.
Un premier cimetière au Ruisseau-Leblanc
D’après certains citoyens, il y aurait eu un cimetière à Rivière-Caplan, près du ruisseau Caubèche, avant la construction de l’église. C’est d’ailleurs ce que l’on peut lire dans le livre du Centenaire. Les sépultures y auraient été déménagées au cimetière de la première église. D’abord, bien que nous n’ayons pu confirmer cette information, selon Huguette Loubert, « Il y a eu une petite chapelle au début à Riviere-Caplan près de la route Dion. Elle aurait été transportėe au village quand la première église à été construite et serait devenue la sacristie. On voit sur certaines photos cette petite rallonge. Il y avait un cimetière à cet endroit. Il doit y avoir des documents qui le confirment. ».
Dans le livre Souvenirs d’autrefois de Candide Leblanc Babin et Guylaine Dion Bourdages, Herménégilde Dion parle de l’emplacement de DEUX cimetières à la Rivière! « … le premier était du côté ouest de la chapelle, mais c’était un terrain beaucoup trop humide, aussi on le déménagea en bas du Chemin Dion, là où est maintenant la maison de Salomon Audet. »

Extrait du témoignage d'Herménégilde Dion.

Photographie du cimetière. Source : Jacinthe Lepage.
Les cimetières
Il y aurait 2 cimetières à Caplan : un au village, et l’autre dans le chemin des Mélèze, au Ruisseau.
Le cimetière du village
Selon certain.e.s citoyen.ne.s, il y aurait une fosse commune dans le cimetière du village. Selon Huguette Loubert, il y avait même un espace pour les bébés sans baptême: « Je me souviens de l’espace non béni pour les bébés morts sans baptême ou pour les non-croyants ou autres raisons contrariant les règles de l’Église mais pas de fosses communes. Ce terrain était en bordure ouest du cimetière ». Pour voir les pierres tombales de ce cimetière, rendez-vous ici.
Le cimetière du Ruisseau-Leblanc
Les pierres tombales de ce cimetière, inauguré en 1994, peuvent être aperçues ici.
Salomon Poirier déterre ses deux femmes
Dans le livre du Centenaire, on peut lire que « Lors du déménagement des corps du cimetière de la Rivière, M. Salomon Poirier déterra ses deux premières femmes et les transporta au cimetière centrale avec l’aide de sa troisième femme suivis de leurs 22 enfants ».