150e de Caplan

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« Quand j’étais enfant dans les années 1960, j’allais à Caplan passer quelques semaines avec ma mère, Laurette Poirier, dans la maison ancestrale. Le jour pour m’occuper, je traversais la route à travers les motels Brière et prenais l’escalier qui descendait à la plage. Je ramassais les bouteilles vides que j’allais vendre à l’épicerie de M. Thomas. Avec l’argent, j’allais me payer une frite au petit stand juste à côté de la maison. J’arrosais les frites de vinaigre, c’est ça que j’aimais. Je me souviens d’une fois ou la petite radio jouait « Tous les garçons et les filles de mon âge » de Françoise Hardy, j’avais cinq ou six ans. C’est mon plus vieux souvenir de Caplan. »Jean-François Chicoine

 

 

Vue aérienne de Caplan. Fonds de l'aviation franco-canadienne, vers 1927. Source : BAnQ.